Que du blanc !

Du brouillard, de la neige, le ciel blanc, les montagnes blanches, l'impression irréelle d'être noyée dans le blanc, parce que tous les repères ont disparu.
Dans la lumière cotonneuse, ne pas voir à 10 mètres. Être bercée par un relief qu'on ne distingue pas, ne plus savoir si on avance ou si on est à l'arrêt. Saisir des bruits sans bien savoir d'où ils viennent, entendre le crissement doux de la neige sous son passage. Sentir les flocons qui brûlent le menton et les joues, et qui givrent les cheveux qui s'échappent du bonnet.

Bon maintenant, j'attends le vert.

Comments

[choule[bnkr]]

ceci dit, ça n'est pas facile de jouer au basket sur la poudreuse. :)

[STV.]

J'aime le blanc de cette note et les sensations qu'elle décrit. On aime ce qui est familier, je suppose. :)

[Berthoise]

La débâcle ?

[Teb]

Ici, non, en montagne, oui...
Mais ça doit fondre pas mal, le niveau de la Moselle monte ...
;-))

[Berthoise]

Teb > Toujours de la neige, chez toi ?