« ma Mère Castor à moi »
Imagine, bricole et tout le tralala (voir
la
consigne là) une Mère Castor factice.
La
tienne à toi, celle que tu imagines.
Chère Mère Castor,
Tu
le sais, la chose informatique recèle pour moi encore bien des
mystères. Sans revendiquer comme au début, le titre de quiche du
net, beaucoup de subtilités techniques m'échappent, hélas ! Mais,
j'essaie, je persiste, je tente, je m'accroche. Pour tout dire, je suis du genre persévérante.
Alors
voilà ton portrait.
En plus, le croiras-tu, j'ai passé des heures à bidouiller pour arriver à ce résultat.
Ensuite, j'ai perdu l'image dans les méandres de
l'engin.
Que d'aventures, mon dieu, que d'aventures !
Si tu veux, je décode car je sens s'allumer au fond de tes yeux, un soupçon d'incompréhension.
Tu es fabuleuse, Mère Castor, parce que ton regard sur les riens qui t'entourent les transforme en merveilles. Ça, c'est pour l'animal bizarre.
Je me nourris de tes photos et de tes textes qui parlent à mon cœur. Ça, c'est pour les tétons en forme de cœur. Tu vois qu'un décryptage s'impose.
Tu changes les pierres, les gouttes, les plantes en perles rares et précieuses qui te parent. Tu portes un collier et un diadème comme la reine de Vidourle.
Je
te crois un peu fantaisiste et te vois bien en robe à fleurs. Quoi,
tu dis, tu ne portes que du noir. M'en
fous, j'aime beaucoup les
imprimés fleuris, alors comme je t'aime bien aussi, hop ! te voilà
avec une jupe à fleurs. Comment ? Qui a dit qu'on ne voyait pas bien
les fleurs ?
Voili, voilà, le portrait de la Mère Castor assaisonnée à la sauce de chez moi.