Turlututu, je suis reviendue
Ce que j'aime à la montagne, c'est la lumière.
Et de lumière, on n'en a pas manqué.
Nous sommes rentrés hier soir, après quelques heures de route mais sans trop d'embouteillages.
Je suis un peu bronzée, moins que mon mari qui est un vrai pruneau. Moi, je suis plutôt du genre tomate. C'est mieux que d'avoir un teint d'endive. Si mes comparaisons sont alimentaires, c'est que la table et les repas étaient aussi très appréciés. La pension complète, je le confirme, c'est vachement bien. Les copains et le ski aussi.
On a évité l'avalanche de la Lauzière. Mais oui, vous savez, il paraît qu'on en a parlé à la télé : l'avalanche qui renversé les piliers d'un télésiège. Ben, c'est là que j'étais. Du coup, la Lauzière ( piste noire, je frime un peu ), on n'a pas pu la descendre, alors on est allé sur le Riondet, autre piste noire. Et nom d'un petit bonhomme, le Riondet est sacrément dur. Et long avec ça. Long et plein de bosses.
Vous voyez le ruban bosselé en biais sur la photo, ben, c'est ça le Riondet.
Voici le début de la piste vu d'un autre versant.
Je suis fière de l'avoir descendu, et sans tomber, s'il vous plaît. Bon, j'avais un peu mal aux cuisses et mes genoux s'en souviennent encore, mais je suis fière.
Et pour faire plaisir à Joye qui me l'a demandé, me voici déguisée en sportive, le grand monsieur à côté de moi, c'est mon mari, j'ai coupé le copain de l'autre côté, il n'a pas forcément envie de voir sa bobine sur la toile.