In paradisum
De Gabriel Fauré.
De Maurice Duruflé.
Y'en a qui ne jurent que par la musique moisie ( comme Madame de K. dont je vous donne la nouvelle adresse ), bon c'est leur choix, ça se respecte. Personnellement, je n'ai rien contre la musique moisie ( baroque, je traduis pour ceux qui ne parlent pas le Keravel couramment ), mais j'aime aussi beaucoup les compositeurs français. Fauré et Duruflé ne sont pas tout à fait contemporains, ils ont pu se croiser quelques années quand même et j'aime leur vision du paradis. J'aime bien aussi Satie, Ravel, et Debussy. Mais eux, j'ai beau cherché, pas de paradis dans leurs compositions. Je sais qu'ils ne sont plus à la mode mais tant pis, je suis out.
Et tant qu'à être out, je vais vous montrer le paradis. Celui des chérubins et des voix célestes. Pas de celui de la chute, non celui des temps bénis.
"El paraiso", de Rodolpho Arellano, peintre nicaraguayen. 1991.
Adam et Eve au Paradis de RUBENS
Adam et Ève au Paradis Terrestre, tableau de Wenzel
Certains n'aiment pas le paradis. L'idée d'un idéal inaccessible les blesse. Tant pis, l'image que se sont fait de lui les artistes, est belle.