Du mieux
Aujourd'hui, ça va mieux.
Le moral. Je continue à baisser les médocs, j'ai arrêté les antidouleurs , évidemment je le sens mais j'en ai marre ďe tous ces cachetons et puîs c'est que je ne dois plus en avoir besoin, puisque je supporte
Je vais mieux, pour lr moral. Parce qu'au niveau de l'équilibre, c'est vraiment pas le pied (humour !).
Je tangue, je titube, et je me retiens aux murs. Dans la maison, je délaisse jeanne. Les murs; les meubles m'aident.
Hier, on est allés me choisir une nouvelle paire de lunettes. Je suis contente de mon choix. C'était bien aussi de sortir de la maison, il y avait du soleil, un froid vif et un vent du tonnerre.
Des copines, ma mère, ma fille, mon fils sont venus me voir. Je suis entourée. Vous commentez avec gentillesse mes pleunicheires. Vous êtes précieux.
J'ai retracé l'historique des douleurs pour pouvoir être claire quand je vais rencontrer le toubib du travail. Je ne veux rien oublier. Ecrire tout ça m'a tranquillisée.
Mon mari qui est un amour lui aussi, et prévenant, m'a offert un petit clavier pour pouvoir taper allongée avec ma tablette. Je ne maitrise pas encore parfaitement l'engin. Je fais de nombreuses fautes de frappe. Et fautes tout court.
Voilà c'est tout pour aujourd'hui. Cet après midi, je me colle au devoir de Lakévio.