Pavane sous les pivoines

C'est  bizarre, cet entre-deux. On n'est plus confinés, mais on ne voit personne. Ou presque. Si, le Grand, qui est un bon garçon, est venu embrasser ses vieux parents dimanche dernier. Il était rayonnant. Les 2 mois passés en confinement avec sa chérie lui ont réussi.
J'ai repris la kiné. Les massages m'apportent beaucoup. Mais hier, j'ai trop tiré sur la ficelle. Malgré la séance du matin, j'ai voulu me promener avec mon mari dans l'après-midi. Le retour fut laborieux. Et aujourd'hui, je traîne. Fatiguée.
Il pleut. Enfin. Le jardin avait bien besoin d'eau.
Les fleurs égaient les journées.
Je lis des pavés. Elizabeth George. Une auteure que je ne connaissais pas. Ça m'occupe. Et j'ai le projet d'aller chercher du tissu pour confectionner une tunique.
J'espère que la règle des 100 kms sera bientôt levée. J'aimerais pouvoir aller à Concarneau.

Comments

[brigou]

Une date commune pour nous ;) Bon Anniversaire Berthoise, bisous.

[Célestine]

La musique est divine. Tout comme tes pivoines qui s'épanouissent.

Tu as raison, c'est un drôle d'entre-deux. Comme si une chanson s'était arrêtée, sans laisser place à une autre encore...

Alors on attend.

Douces pensées

•.¸¸.•*`*•.¸¸☆

[heure-bleue]

Si l'ordre est important, j'aime beaucoup aussi, je les trouve juste trop gros à lire au lit.

Je rêve de sentir des pivoines dans un jardin, celles des fleuristes sentent des traitements certainement mauvais pour la santé.

[caro_carito]

Ils sont magnifiques, ces iris. J'aime beaucoup Elisabeth George, avec une sympathie particulière pour le sergent Havers et les premiers tomes.

[valecrit]

Elisabeth Georges, je ne connais pas. C’est bien ?