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19 mars 2018

Un tableau, un histoire de Lakévio : cent pour sang chaud

 

Cent pour sans...

french maid pas un jour sans fessee

 

Centième devoir, chers amis !

 

Saurez-vous raconter une petite historiette sur ce tableau coquin,

en cent mots exactement, pas un de plus, pas un de moins ?...

 

Pour assouvir une de ses envies.

J'ai joué les soubrettes en goguette,

J'ai porté des dentelles jolies,

Me suis amusée comme une follette.

 

Je maniais le plumeau,

Me baissais pour astiquer.

Il regardait le coquin tableau

Qui semblait l'émoustiller.

 

J'eus le geste attendu

D'ôter ma culotte blanche.

Et je plantai mon petit cul

Sous son nez de vieille branche.

 

Il fut tellement excité,

Qu'il en perdit son sang froid.

Il plaqua un chaud baiser.

Il mit mon corps en émoi.

 

La suite, vous la devinez

Inutile de tourner autour du pot.

Vérifiez si vous voulez,

La grivoiserie a cent mots.

 

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Commentaires
V
Excellent !
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C
J'avais posé un commentaire mais canalblog me l'a mangé...<br /> <br /> Bon il était un peu « poil à gratter » par rapport à cette image que je trouvais peu en accord avec mes convictions féministes...<br /> <br /> C'est pas grave...L'essentiel c'est que chacun se soit amusé. <br /> <br /> Et ta plume reste alerte, chère berthoise<br /> <br /> Bisous
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Q
C'est joyeux, amusant, alerte et bien écrit, y compris la chute (pas de reins) !!!<br /> <br /> <br /> <br /> Bravo Berthoise!
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B
Tu t'es payé le luxe de nous pondre ton texte en vers ! Bravo !<br /> <br /> Mais pourquoi pas un cul d'homme ? Rappelle-toi celui de Jacob dans la Cage aux Folles... tout à fait appétissant !
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J
Super ! Pour la 100e, Lakevio nous a permis d'en prendre plein les mirettes...
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